SUJETS DES EPREUVES ORALES 2014

oui laeti c'est vrai ça le sourire inexistant ça refroidit toujours... et la question qu'on oublie sous l'emprise de l'émotion, c'est fabuleux aussi !
Laureen t'as été bombardé de questions c'est incroyable, je me souviens pas avoir eu autant de questions...

Oui c'est sûr et j'avoue ne pas trop quoi en penser ^^

laeti34 a écrit:

non mais franchement j ai essaye de leur decrocher un sourire pas moyen et parfois avec la.panique ils te posent une question t y reponds mais tu te souviens meme plus de la question enfin c est tout c est fait je ne peux pas y retourner par contre je trouve qu il y a tout de meme pas mal d absents !!

Ah oui, pas mal d'absents?
C 'est cool ça lol![/quote]

ouais c est cool si c est ainsi pour tous les jours de convocation

ok autant pour moi coef 3 pour l'écrit, je pensais que c'était coef 5 !!

apparemment à chaque demi-journée même impression qui revient : beaucoup d'absents !! une bonne chose pour nous ...   

Moi une autre impression me vient en vous lisant, c'est qu'ils se sont pas trop cassé la tête pour les sujets, y'en a pas mal qui ont texto le même intitulé que l'an passé ou alors un mot a été changé !
Et puis la "personnalité" sujet de l'année n'est toujours pas tombée, le retour de l'abbé Pierre ou une nouveauté ? suspense..

Bonjour,

Merci à tous pour vos réponses et vos impressions, je ne suis pas encore passée et j'avoue que j'ai hâte.
Par contre je n'ai absolument pas prévue que ma présentation dure 10 min.
Avez vous tous fait une présentation assez longue ?

ah parce que la présentation devait durer 10 minutes ? pour raconter tes études et l'emploi que t'occupes il m'a fallu 2 minutes.
si c'est pour les assomer avec ton parcours dont ils ont rien à fiche, parle leur donc de l'environnement pénitentiaire (missions spip, qualités, ton ressenti...) c'est à toi d'orienter la conversation et oublie pas qu'ils rebondissent sur ce que tu dis à chaque fois.
c'est bien cette option pour corriger   

oui mais justiciable quand on te demande de présenter ton parcours forcément la durée n'est pas la même selon qu'on ait 23 ou 45 ans !
selon également qu'on ait occupé un ou plusieurs emplois au cours de sa carrière !

alors bien sûr on peut parler de son intérêt pour l'AP en expliquant comment on l'a découvert, pourquoi ce métier etc mais dans tous les cas je pense que peu importe le temps qu'on prend pour se présenter, tant qu'on a calé dedans tout ce qu'on juge intéressant à dire, à eux ensuite de poser leurs questions

(et pour info il y a une petite touche en haut a droite des posts qui te permet d'éditer ton message lorsque tu as oublié de dire qqch :p c'est plus lisibe que 4 posts à la suite )

Merci pour ces réponses. ça me rassure et en effet la présentation est à adapter en fonction des parcours.
C'est la première fois que je passe ce concours et j'avoue que quand je vois certaines questions, je me demande vraiment comment ça va se passer pour moi.
Je tâche d'y croire car j'ai vraiment envie de l'avoir et je me raccroche au fait qu'en effet la culture G ne paraît pas être la chose la plus importante.
Merci à tous pour votre soutien et vos partages, ça fait du bien de sentir qu'on est pas tout seul !

Kéloche a écrit:

(et pour info il y a une petite touche en haut a droite des posts qui te permet d'éditer ton message lorsque tu as oublié de dire qqch :p c'est plus lisibe que 4 posts à la suite )

Done! (beaucoup de boulot comme modo avec ces nouveaux utilisateurs)

justiciable a écrit:

ah parce que la présentation devait durer 10 minutes ? pour raconter tes études et l'emploi que t'occupes il m'a fallu 2 minutes.
si c'est pour les assomer avec ton parcours dont ils ont rien à fiche, parle leur donc de l'environnement pénitentiaire (missions spip, qualités, ton ressenti...) c'est à toi d'orienter la conversation et oublie pas qu'ils rebondissent sur ce que tu dis à chaque fois.
c'est bien cette option pour corriger   

A l'inverse de ce que tu dis penser, le parcours d'une personne, même en externe, et quelque chose de très intéressant. L'épreuve de culture générale est un exercice qui permet de voir si les candidats ont quelques notions sur un sujet, sans que les connaissances sur le dit-sujet ne soit primordiales. Il s'agit de voir si la personne est capable d'aligner quelques idées de façon construite et compréhensible.
La présentation du parcours leur permet de voir à qui ils ont à faire. Ils sont chargés de recruter des fonctionnaires avec qui certains auront à travailler pendant 10, 20 ou 30 ans et ce n'est ni une mince affaire ni quelque chose de simple.
Dire que c'est à toi d'orienter la conversation est à la fois simpliste, et pour moi en tous les cas, peu respectueux des personnes que tu as en face de toi, donc par extension, du public dont tu pourrais avoir la charge ...  
Tu sembles oublier, ou ignorer, que tu as en face de toi des personnes, qui pour certaines, ont menés plus d'entretiens dans leurs vies que toi aujourd'hui et peut-être que tu n'en mèneras jamais.
Un parcours de vie permet aussi de voir qui est celui qui est face.
Que les expériences et activités diverses aient un lien ou pas avec un futur métier envisagé n'est pas important en tant que tel, mais dit des choses sur cette personne.
Ce qui est important c'est que les candidats puissent valoriser ce que ces expériences leur ont appris, sur eux et sur les autres.

Concernant le contexte de la profession envisagée : il est effectivement attendu des candidats qu'ils le connaissent, mais il ne leur est pas demandé d'être des spécialistes.
L'ENAP à son rôle à jouer dans les apprentissages de professionnalisation mais elle ne pourra rien faire si la personne sait tout, à tout vu, n'a pas une once d'empathie pour qui que ce soit, est pétrie de certitudes et ne pense qu'à s'assurer une sécurité d'emploi. Je n'ai rien contre la sécurité de l'emploi, car vu la situation du marché de l'emploi je comprends que c'est important, mais pas à n'importe quel prix, pour les personnes suivies et pour l'institution.

Dernier point dire, ou déclamer : "il faut m'embaucher parce que j'ai envie de faire ce métier et que je suis fait pour ça" est très short et totalement insuffisant. Il faut AR-GU-MEN-TER !  

oui t'as raison mais n'oublie pas que l'empathie c'est pour les victimes par les personnes suivies, avec les personnes suivies tu dois avoir une bienveillante écoute, l'empathie c'est toujours pour la victime pas la personne condamnée, sinon tu t'exposes à des soucis, c'est ce qui nous a été dit en stage.

justiciable a écrit:

oui t'as raison mais n'oublie pas que l'empathie c'est pour les victimes par les personnes suivies, avec les personnes suivies tu dois avoir une bienveillante écoute, l'empathie c'est toujours pour la victime pas la personne condamnée, sinon tu t'exposes à des soucis, c'est ce qui nous a été dit en stage.

Mmmmh mmmmh je ne suis pas d'accord avec ça! Tu peux être dans l'empathie avec un auteur sans perdre pour autant ton objectivité professionnelle, de même que tu dois garder cette objectivité quand tu travailles avec des victimes.

justiciable a écrit:

oui t'as raison mais n'oublie pas que l'empathie c'est pour les victimes par les personnes suivies, avec les personnes suivies tu dois avoir une bienveillante écoute, l'empathie c'est toujours pour la victime pas la personne condamnée, sinon tu t'exposes à des soucis, c'est ce qui nous a été dit en stage.

Bof, bof, bof ............ Il y a, malheureusement, lieu de stage et lieu de stage, et mon grand âge me fait encore plus aujourd'hui apprécier les actes professionnels aux éléments de langage, chers aux publicitaires, mais qui envahissent aussi la pénitentiaire ..... Ce n'est pas très élégant, mais au moins cela m'amuse, voilà ce que j'en fais de leurs éléments de langage   

rires, ils seraient contents tiens de savoir qu'ils font des pubs pour dentifrice... mais sur le fond c'est vrai que la notion est terriblement compliquée à circonscrire, je viens de lire un article passionnant sur le sujet que je recommande à tous ceux et celles qui sont pas encore passé http://www.leblogdesrapportshumains.fr/quest-ce-que-lempathie/
un extrait de l'article : " Toujours d’après Jean Decety, en situation d’empathie, l’émotion que l’on ressent est similaire à l’émotion que vit autrui."
Imaginez qu'en France, personne n'est capable d'aligner une définition identique du terme démocratie et s'en fait une représentation personnelle, alors définir une notion de psychologie aussi complexe relève de la gageure pour un néophyte.
Mais de toute façon l'oral ça se passe jamais comme on l'a planifié dans sa tête, t'es pris par le courant et tu fais de ton mieux, déjà pour te mobiliser tout le long tu restes pas frais toute la demi heure, comme disait quelqu'un les questions tombent de partout tu réponds, au bout d'un instant tu sais même plus qu'elle est la question pris par l'émotion de l'oral, et tu fais comme tu peux.

Je suis d'accord avec Lilou....

Si tu n'as aucune empathie pour la personne que tu suis, la bienveillance ne servira pas à grand chose. C'est un tout... Si tu ne peux pas comprendre la personne que tu suis, comprendre ce qu'elle ressent un minimum (vis à vis de sa situation, de ce que tu sais de la personne), quelque part si tu arrives pas à la cerner, toute ta bienveillance ne changera rien parce qu'au final, tu ne comprendras pas cette personne. Et quand tu comprends pas le fonctionnement de quelqu'un, pour travailler ou discuter avec, ça devient à force compliqué. C'est le propre des relations humaines. Quelqu'un qui se braque toujours bien que tu sois bienveillant, il te faudra plus que de l'écoute et donc un peu d'empathie pour comprendre ce qu'il ressent.

Après avoir de l'empathie ne voudra pas dire que tu seras pas objectif avec la personne. Selon moi ça n'a rien avoir! Je suis quelqu'un qui peut faire assez vite éponge, notamment quand j'ai quelqu'un d'hyper stressé à côté, ça me stressera, sans doute parce que ces personnes, corporellement expriment ce stresse, et que je le perçois. Cela ne veut en rien dire que j'apprécie pas la personne à côté de moi, ou que j'ai de la sympathie parce qu'elle est stressée, et donc me dire "oh la pauvre".

Faut pas tomber dans l'extrême, si tu penses ne donner ton empathie qu'aux victimes... ça me parait difficile de travailler avec des gens que tu es sensée aider à se réinsérer. On peut pas faire de miracle, mais tu peux pas non plus être hypocrite, on peut pas les mettre à la "poubelle", les "aider" passe aussi par la compréhension.

Pour moi CPIP reste un travail très humain. Et je pense quand même que donner de l'empathie aux victimes de façon aveugle, c'est clairement pas les aider, mais quelque part, leur donner ce rôle de victime, et les y laisser. Avant d'être des "victimes", ce sont des personnes... Tout comme les personnes qui sont devant les CPIP. Faut pas oublier que le CPIP n'est pas là pour jugé qui que ce soit sur ce qu'il a fait, ça déjà été fait en amont.

Bref, je dis peut être n'importe quoi à cette heure, et je me fourvoie peut être totalement sur le métier, mais c'est ce que j'ai ressenti à travers ce que des cpip m'ont dit, à travers ce que j'ai pu lire ce forum.

Colibri : en effet, je suis rentrée cet après midi. Espérant te revoir à l'Enap....à bientôt !!

Bonjour tout le monde,
Alors je ne sais pas si je veux participer a ce debat mais seulement dire qu'on a discuté de ce sujet pendant le stage. Une stagiaire nous a dit qu à l école le mot d'ordre était l empathie. Le conseiller a répondu qu'il n etait pas question d empathie. Selon lui un conseiller doit s'adapter a toutes les situations mais pas faire preuve d empathie. J espère que je vais vous aider en ne faisant que répéter ce qu on a bien pu nous dire en stage.

Pour ce qui est du parcours et des motivations, le jury n a fait que me dire la deuxième partie consiste à vous présenter et a nous donner vos motivations.
Ca n'a pas duré longtemps et je n'ai eu aucune question ni sur l un ni sur l autre. Ca n'avait pas l air de les intéresser.

Enfin pour les questions pratiques et de connaissances du métier là par contre je ne suis pas d'accord avec vous. J'ai eu des questions très pointilleuses.

voilà pourquoi en résumé j estime ne pas avoir réussi cet oral.

bye a tous.

Je répète et je me le repeterai à mon tour, le jury est souverain et notre ressenti n est que notre ressent, cela est très subjectif et ne reflète pas l avis que les membres du jury peuvent se faire de nous.
Attendez les résultats et en attendant occupez vous de vous..souriez, pleurez...mais surtout evacuez !!

)voilà ma contribution ;-

Je ne sais pas, de toute façon, ce que je sais par contre, c'est qu' il me semble qu'on ait pas les compétences requises pour se placer sur le champ de psychologie cognitive parce qu'on maîtrise pas le sujet (pas de formation ni diplôme). L'empathie appartient au champ lexical des neuro sciences cognitives, de la psychologie clinique, de la médecine psychiatrique et de la psychanalyse freudienne ou lacanienne... Ecoute la définition de l'empathie c'est loin d'être la définition sémantique qu'on lui prêtre à savoir la capacité de ressentir les émotions de quelqu'un d'autre (c'est autre chose l'empathie et pas seulement la définition de psychologie de comptoir qui est la notre si je puis me permettre). La capacité de comprendre les émotions de quelqu'un d'autre tout le monde en dispose naturellement plus ou moins c'est ce qui fait notre humanité, sauf évidemment les psychopathes et les sociopathes, je pense pas qu'on fasse partie de cette catégorie là tu en conviendras. Place toi donc sur le terrain de l'empathie avec un pédocriminel qui viole les petites filles ou un type qui a commis des actes de torture et de barbarie sur son épouse et qui prend un mâlin plaisir à te décrire les scènes, si tu te places sur le terrain de l'empathie à ce niveau là et tu fais bien comme tu veux, je pense que tu vas finir ta carrière en institut de soins psychiatriques, enfin je dis ça mais je dis rien.

ET je confirme en tous les points ce qu'a déclaré la loulotte c'est précisément le discours qui nous a été servi par les CPIP en stage...alors si maintenant on se fait désarticuler en forum pour avoir resservi la soupe du stage, vraiment c'est un peu rude la façon dont certains parlent aux candidats avec leur arrogance professionnelle... alors qu'on recrache à notre petit niveau ce qui nous a été enseigné.

justiciable a écrit:

Je ne sais pas, de toute façon, ce que je sais par contre, c'est qu' il me semble qu'on ait pas les compétences requises pour se placer sur le champ de psychologie cognitive parce qu'on maîtrise pas le sujet (pas de formation ni diplôme). L'empathie appartient au champ lexical des neuro sciences cognitives, de la psychologie clinique, de la médecine psychiatrique et de la psychanalyse freudienne ou lacanienne... Ecoute la définition de l'empathie c'est loin d'être la définition sémantique qu'on lui prêtre à savoir la capacité de ressentir les émotions de quelqu'un d'autre (c'est autre chose l'empathie et pas seulement la définition de psychologie de comptoir qui est la notre si je puis me permettre). La capacité de comprendre les émotions de quelqu'un d'autre tout le monde en dispose naturellement plus ou moins c'est ce qui fait notre humanité, sauf évidemment les psychopathes et les sociopathes, je pense pas qu'on fasse partie de cette catégorie là tu en conviendras. Place toi donc sur le terrain de l'empathie avec un pédocriminel qui viole les petites filles ou un type qui a commis des actes de torture et de barbarie sur son épouse et qui prend un mâlin plaisir à te décrire les scènes, si tu te places sur le terrain de l'empathie à ce niveau là et tu fais bien comme tu veux, je pense que tu vas finir ta carrière en institut de soins psychiatriques, enfin je dis ça mais je dis rien.

Tes interventions m'interpellent toujours.... je me mords la langue (enfin le clavier) pour rester calme et pédagogue, parce qu'accessoirement je n'ai quasiment travaillé qu'avec des "pédocriminels qui violent les petites filles" et des "type qui ont commis des actes de torture et de barbarie sur leur épouse", je pense savoir user de l'empathie et être loin de l'HP (enfin on sait jamais...!).

Je comprends que l'on puisse avoir besoin de se rassurer derrière la théorie, mais il faut accepter la part d'humanité qu'il y a dans ce métier, et que les personnes ne rentrent pas dans des cases et des concepts théoriques. De même, il y a un cadre d'intervention des CIP, mais chacun exerce ses missions avec ce qu'il est.

Bonjour Laurren,

Merci beaucoup pour les infos. tu as effectivement eu pas mal de questions sur l'administration et assez précises.
j'vais un peu anticipé, mais là c'est confirmé.
bonne journée à tous.

ma réponse était pour notre amie arya pas pour toi lilou t'es cpip j'ai pas ton niveau, moi je connais rien je te dis ce qu'on m'a dit en stage. Mais j'arrive pas toujours à répondre à la personne que je vise je suis pas très familiarisé avec les options.  Mais ce qui me semble tout à fait singulier c'est que les discours tenus par les professionnels ne sont pas toujours identiques, c'est particulier enfin je trouve.

Justiciable... Tu parles d'arrogance...Mais relis toi une seconde.

Parce que dire uniquement de ton point de vue que si je fais ce métier et que je me place sur le terrain je finirais tarée...Excuse moi, mais je trouve ça franchement agressif et à la limite de l'irrespect. Je ne pense pas t'avoir dit autre chose que je pensais que l'empathie avait quand même sa place dans une certaine limite...

Et tu n'as clairement pas compris ce que je te disais. L'empathie, c'est pas quelque chose que tu contrôles, tu le dis toi même. Puisque c'est ce qui fait de toi un être humain. Le fait de ressentir ou non les sentiments de quelqu'un. Quelqu'un qui pleure réellement pour la perte d'un proche par ex, ça te touchera ou non, ça dépendra si t'as un coeur ou tu en as pas. Et ça restera de l'empathie à ce moment là, que tu le veuilles ou non.

Et le fait qu'un mec te raconte les trucs horribles qu'il a pu commettre...Je vois pas où est l'empathie (aux victimes, puisque c'est du détenu ou proba en face de toi). J'ai pas de sentiments spécifiques sur ce qu'on me raconte, surtout quand c'est pour dire qu'on a fait du mal aux autres. D'autant que si le mec fait ça, faut un minimum réfléchir au pourquoi il te le dit (et pas uniquement pour te faire chier). Ce genre de personnes te fera chier si tu leur fais voir que ça te touche. Je parlais d'empathie pour aider à comprendre les gens, parce que c'est à ça que ça sert. Et je l'ai précisé, que ce n'était pas quelque chose de pousser à l'extrême.

Tu as une vision bien fermée, et c'est pas parce que j'ai un avis différent du tiens, ou qu'on t'a dit ça, que ça vaut pour l'avis de tous les conseillers de France, preuve ici qu'il y a des CPIP titulaires qui pensent différemment. Il n'y a pas de pensé unique je crois, ni de façon de faire. Et les conseillers que j'ai vu (5, 2 en fermé, et 3 ouvert) ne sont clairement pas dans ton sens. Désolée de te le dire mais là, la personne arrogante, je crois juste que c'est toi, personne ne t'a agressé sur ce forum, ils t'ont juste dit qu'ils n'étaient pas d'accord, comme je l'ai fais avec moi aussi ce que j'ai vu pendant le stage, et ce que j'ai pu en lire à travers le forum.